Nicolas BACCHUS

Description

Il fait maintenant partie intégrante de « la bande de l’ÉPALLLE-THÉÂTRE », ses chansons sont une sacrée valeur ajoutée. Venez avec un peigne, ça va décoiffer…
Nicolas Bacchus est un « impertinent du spectacle à langue verte, rire jaune et humour noir. »

Bacchus est à L’Épallle-Théâtre comme il serait dans une famille d’adoption : chéri et désormais familier, il fait partie des meubles et c’est commode (à tiroirs).
Disons-le tout net : c’est du Bacchus, en verve, en forme, en pleins et en déliés, en poésie comme en propos qui ne passeraient pas à L’Île aux enfants, ou alors très tard, après le passage du marchand de sable. Il faut dire que Nicolas Bacchus chante Comme Joan Baez (il fait bien ce qu’il veut)… Dans les nouveaux titres de Bacchus, plein de signatures sympas, à commencer par celle de l’ami Mie (de son prénom Éric), Manu Galure et Lucarne. Et Frédéric Bobin, Alex Beaupain, Vladimir Vissotski, même Bertolt Brecht, à qui il pique des titres. Il y a dans ce spectacle et ce disque à boire et à manger : je veux dire qu’il est copieux, de mille saveurs, de l’entrée au dessert, du savoureux et gouleyant. .../... Dépassé, ce nuancier d’émotions, du rire aux larmes, que chante Bacchus ? Non. Le désir d’humanité ne peut l’être, le désir du désir non plus, plus particulièrement envers les hommes. C’est rien que de la poésie, sans cesse contrariée – il est comme ça – par sinon de la provoc au moins de l’humour acide et acéré, comme un crayon trop bien taillé. Comme un rascal à la veille du week-end pascal.